Partir en volontariat au Japon avec Solidarités Jeunesses : tout ce qu'il faut savoir !

Envi.e de participer à un projet collectif et interculturel au Japon ? Solidarités Jeunesses travaille avec plusieurs partenaires japonais afin d’envoyer des volontaires résidant.e.s France sur des projets dans différents lieux du Japon. Découvre notamment les projets organisés par notre partenaire japonais NICE !

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Quels types de volontariats sont disponibles au Japon ?

  • Le chantier international, c’est-à-dire un volontariat d’une durée de 2 à 3 semaines avec une équipe de volontaires internationaux, pour réaliser une mission pensée pour et par la communauté locale. Les thématiques sont variées et les projets nombreux… mais pas de panique ! Sur le site de SJ, tu peux trier les projets selon le pays, la durée et/ou la thématique. Par exemple, le projet Ozuchi GR (code : NICE-24S-0729A) propose comme missions de maintenance d’une rizière et de jardins potagers tout en créant des liens avec la communauté locale.
  • Le volontariat moyen/long-terme, c’est-à-dire partir rejoindre un projet d’une de nos associations partenaires pour une immersion allant de 1 à 12 mois. Cela peut-être par exemple de rejoindre un projet de rénovation d’un Maki, comme l’a fait Jeanne, une ancienne volontaire partie chez NICE en 2023. Elle explique son choix en disant « J'ai choisi d'effectuer un volontariat long-terme car je souhaitais être immergée dans le quotidien des japonais à la ferme, avoir une routine et comprendre leur culture à travers leurs habitudes. Je souhaitais aussi que mon expérience soit longue afin d'avoir un aperçu le plus large possible des différents travaux de la ferme. »
  • Le Service Civique, c’est-à-dire un volontariat indemnisé par l’Etat français d’une durée de minimum 6 mois et de maximum 1 an. SJ peut être ton association d’envoi.

Qu’est-ce que peux t’apporter cette expérience ? 

En termes de compétences acquises, Caroline, volontaire partie avec SJ en 2023 sur le projet Shinmachi de NICE, nous confie qu’elle a « fait beaucoup de progrès en japonais et ce projet [l']a beaucoup challengé à différents niveaux. [Elle a] acquis des compétences dans l'animation auprès d'enfants, en cuisine. »

Jeanne de son côté rajoute : « j'ai été ravie d'apprendre à cuisiner les repas du quotidien, j'ai appris énormément de chose en cuisine, c'est fabuleux. J'ai aussi compris comment était cultivé/récolté/fabriqué des aliments de base de la cuisine japonaise (riz, soja, sauce soja etc.). J'ai aussi pu comprendre les modes de vies traditionnels japonais notamment à la Maki farm (un hameau traditionnel qui date du XVIème siècle). Enfin, tous les dimanches (le jour de congé), j'assistais à des évènements de la cultures locales comme des spectacles de danses, de chants et de musiques des clubs des villages alentours, nous allions aussi aux onsen ou manger dans les restaurants du village etc. Participer au marché à Tokyo ou nous avons vendu nos produits m'a aussi vraiment plongé au cœur de la culture et du quotidien des japonais.e.s c'était extraordinaire de pouvoir assister et participer à cela. »

Et que nous recommanderait une volontaire japonaise sur un de nos projets en France ? 

Miho est actuellement en volontariat long-terme au sein du Centre de Beaumotte, une de nos délations régionales en Bourgogne-Franche-Comté. Elle a été envoyée par l’association NICE et nous donne le conseil suivant : « C’est un stéréotype mais qui est assez vrai que nous sommes généralement de culture moins expressive et que nous pouvons paraitre timide. Mais cela ne veut pas dire que nous ne voulons pas vous parler ! Alors s’il vous plait parlez nous et je suis sûre que nous nous pourrions devenir ami.e.s. ». Elle confie également que « si [elle a] le temps, quand [elle sera] de retour au Japon [elle aimerait] être animatrice de chantiers internationaux ». 

On lui a également demandé ce qu’elle avait aimé et/ou appris de son séjour en France jusqu’à présent, et voilà sa réponse : « J’aime le pain et le fromage en France, c’est vraiment délicieux ! Merci la France. Mais parfois la nourriture japonaise me manque, j’ai appris ici à manger plus de légumes et maintenant je me suis habituée. Je crois que quand je vais renter au Japon je mangerais moins de viande. Il faut dire que chez moi on en mange au petit déjeuner, au déjeuner et au diner… Je pense que je vais changer cette habitude. Je réalisé que je n’avais pas besoin d’autant. »


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